En 2011, j'ai rencontré Maria, ma compagne actuelle, qui a toujours utilisé son vélo comme moyen de transport.
Il faut vous dire que la Flandre étant une région majoritairement sans dénivellation importante, la pratique du vélo y est facilitée. Il ne faut toutefois pas négliger le vent qui souffle quasiment tous les jours dans ces contrées et qui est un facteur pénalisant lors de la pratique de la bicyclette.
Moi-même, ayant été un fervent amateur du vélo durant toute ma jeunesse et ce jusque environ l'âge de 35 ans, il ne fallut pas longtemps pour me convaincre d'acheter, à nouveau, cet engin à deux roues, très léger, qu'on appelle un vélo de course.
Moi-même, ayant été un fervent amateur du vélo durant toute ma jeunesse et ce jusque environ l'âge de 35 ans, il ne fallut pas longtemps pour me convaincre d'acheter, à nouveau, cet engin à deux roues, très léger, qu'on appelle un vélo de course.
Voilà, ainsi commença ma rééducation à la pédale, au guidon, sans oublier cette fameuse selle qui peut vous occasionner de sérieuses douleurs après un certain temps de pratique.
Depuis novembre 2011, nous avons parcouru pas mal de kilomètres ensemble sur les routes flamandes sur des distances ne dépassant pas très souvent les 70kms, avec une relative aisance, me confortant dans l'idée que mon ancien amour était toujours aussi vif.
Il y a de cela une dizaine d'années, ma fille Isabelle, qui vit à Barcelone, avait aussi commencé un pèlerinage vers Compostelle, à pied, sans toutefois avoir atteint son but car elle souffrait de tendinites au niveau des chevilles.
N'ayant plus de contact avec elle depuis pas mal de temps, je me suis dit que ce serait l'occasion de la recontacter, un intérêt commun nous servant de point d'ancrage.
Comme Maria n'avait jamais visité l'Espagne, vu notre amour commun de la bicyclette, notre attirance pour les défis et étant donné mon désir de revoir ma fille, un voyage vers Compostelle était tout indiqué.
Encore fallait-il s'assurer que j'étais capable d'assumer les grimpettes qui immanquablement allaient jalonner notre route vers Saint Jacques...
Encore fallait-il s'assurer que j'étais capable d'assumer les grimpettes qui immanquablement allaient jalonner notre route vers Saint Jacques...
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