Il faut absolument que je raconte notre chute en vélo, à l'arrêt, juste en quittant Cabrières.
Nous sommes dans la rue sur laquelle donne le motel où nous avons séjourné et nous attendons sagement côte à côte, au feu qui est au rouge. Il y a une voiture à ma gauche et Maria est à ma droite.
Nous avons tous les deux appui sur notre jambe gauche, le pied droit prêt sur la pédale pour le démarrage.
Je ne sais pas ce qui me prend, mais toujours est-il que je perd l'équilibre et bascule tout doucement du côté de Maria qui se demande ce que je fais. Je me sens tomber sur elle, donc je pose ma main sur son épaule, espérant me retenir à elle. Du coup elle perd aussi l'équilibre et nous voilà tous les deux par terre, comme des cons. Ah on n'en menait pas large!!! Les sacoches latérales ayant amorti la chute, pas de bobo.
C'est con, non? Les gens ont bien dû se demander ce qu'on essayait de faire!?!
Au total, je serai tombé 3 fois et Maria 4 fois, toujours sans gravité et toujours à l'arrêt ou presque, souvent parce qu'on se suit de trop près et que le premier freine parce qu'on s'est trompé de route.
Gardez vos distances est le meilleur conseil qu'on puisse donner et ne pas caler les pieds de suite.
Tous les système sont bons pour arroser les plants de vigne. Citroën n'avait sans doute pas pensé à une telle utilisation...
Arles (aux frontières de la Camargue) et ses arènes qui sont malheureusement en travaux; une photo extraite d'internet fera l'affaire
Place de l'hôtel de ville
Je me renseigne pour les heures d'ouverture du lendemain car nous n'avons pas encore le cachet d'Arles.
Hôtel du Belvédère.
Vu le prix de la chambre, nous sommes obligés de monter tous nos bagages au 3ème étage, par l'escalier bien sûr. Chaque étage est séparé par des portes battantes, la joie pour passer avec 2 sacs dans chaque main! Les vélos eux seront descendus à la cave.
Joli cachet obtenu le lendemain matin en partant.
Eh oui, il y a des heures pour chaque chose.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire