Contents de repartir; pas de problème à l’œil après le traitement de la veille.
Ne pas oublier les gouttes antibiotiques régulièrement!
Toujours frais si pas froid car Maria a toujours son sur-vêtement.
L'église de Viladasens, comme vous pouvez le deviner...
Défilé de mode de vêtements cyclistes adaptés à la pluie!
On ne fera que traverser Girona; pas amusant sous la pluie!
L'église d'un petit village où on aurait bien voulu pouvoir dîner chaud, mais rien d'ouvert, pas de chance; oui, il faut continuer sous cette pluie.
On s'arrêtera plus loin dans un bar le long de la nationale pour manger un sandwich.
Pendant le repas, la pluie s'arrête, mais au moment du départ, évidemment, c'est reparti de plus belle et on doit longer cette grand route où les camions qui nous dépassent en trombe ne manquent pas de nous arroser sur leur passage, tout ceci accompagné de jolies embardées. C'est que ça déplace pas mal d'air ces engins!!!
On y est à cette destination de vacances de nombreux belges, mais au lieu du soleil, c'est sous la pluie
qu'on verra la mer, le soir, en cherchant un endroit pour manger chaud.
Très gentil le réceptionniste de l'hôtel. On mettra les vélos dans le bar pas encore utilisé, vu la saison, et qui se trouve un étage plus bas. Il nous indiquera comment aller au centre ville sur un plan qu'il nous donnera gentiment.
Pas beaucoup de choix dans ce resto le long de la plage.
Nous sommes les seuls à manger. Et ça dure, ça dure avant que nous soyons servis. Pour nous faire patienter et s'excuser, le responsable nous offre des sardines grillées que Maria dégustera avec délice..
Comme le plat commandé n'est pas bon malgré la longue attente, nous ne donnerons pas un cent de pourboire et nous demanderons directement l'addition sans avoir pris un dessert ou un café. Pas content le patron qui avait cru se faire pardonner en nous offrant cette entrée. Désolé, il ne faut pas prendre les touristes pour des cons!!!
Quand nous arrivons dans l'après-midi, ô surprise, il faut encore monter cette terrible côte après 100kms!?!
Si, si, l'hôtel est là-bas, après le bâtiment du coin, et ça monte tellement qu'il faut pousser nos vélos à deux pour y arriver.
La photo prise au retour du resto est encore plus éloquente. Ça monte vraiment sec!!!
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